Mon nom est Simon, Simon Jabelski, et j'ai tuer mon propre père.
Ce soir là je me suis réélement reveillé pour la première fois. De grande traces écarlates souillé mes dras, et de nombreuses gouttes perlait sur tout mon corps. Cette odeur m'enbrumé l'esprit, bien que chaque chose me paraissait plus clair qu'à l'ordinaire. Que m'arrivait-il? Hier Siegfrield était venu me rendre visite dans ma petite chambre, au dernier étage de la maison de mes parents. Je ne l'ai pas vu entrer, et en fait je ne sait même pas comment il s'y est pris. Mais cela fait presque un an que je le fréquente, en fait 7mois et 7 jours, et plus rien ne m'étonne de sa part. Nous avons longtemps parler, et il semblait me proposer un renouveau dans la puissance qu'il m'a apprit. Grace à lui j'ai acquis une acquité toutes particulière dans la détection de la magie ou du surnaturelle sous toutes ses formes. Pourtant il semblait pouvoir me proposer plus, une nouvelle condition me permettant d'avoir de nouvelles posibilités quasiment infinie.
La curisosité fut bien plus forte, et je ne prit même pas le temps d'écouter les dangers dont Siegfrield me mettait en garde.
S'en suivit une étreinte, une sensation de plaisir que je n'avait jamais resentie, dans les bras de toutes les femmes.
Puis le froid de la mort, la sensation de quitter définitivement un monde auquel je tenait encore bien plus que je ne le croyait possible.
Mon retour, dans mon propre sang, me donne l'impression de sortir tout droit des enfers. Des pulsations enivrantes se font entendre à mes oreilles. Elles résonnent tels de puissant tambour, m'attirant à ma perte tels les sirènes.
Je descend, recherchant avec envie leurs origine, et je me rends compte que mon père semble les émettres. Un voile rouge me couvre l'esprit, et je ne parvient même pas à comprendre ce qu'il tente de me dire.
Instinctivement je lèche mes lèvres, me fixant sur ce cou, chaque veine tremblnt légérement sous l'afflut de sang mené par le coeur.
Une voie me pousse à sauter dessus, a bondir tel un animal et à plonger dans cette homme insignifiant et me repètre totalement de lui. J'entend ce monstre intérieur ronronner à cette idée, et ma raison de tient pas le coup contre ce désir.
Quelque secondes plus tard, je tient mon père dans mes bras, un corp brisé à l'image d'une poupé désarticulé. Derrière moi j'entends Siegfrield, et sa voie semble une boué dans un océan de sentiment confus, ou ce mèle le deséspoir du parricide, et la satisfaction d'être reput.
"Suis moi, mon infant, tu vient de faire le plus dur, mais le chemin est encore long"
Je le suis, ne luttant pas, persuader que tout me sera révéler.
Je me suis alors enfoncé dans la nuit, étant déjà devenu la créature de la nuit qui vous parle aujourd'hui.
Alors tu me comprends ma belle, ta vie a bien peu d'importance comparé à la satisfaction que je recherchen ne crois pas que c'est personnelle, si tu n'avait pas insister je ne t'aurait pas choisie, mais tu te rend compte qu'il est maintenant trop tard pour reculer.
Et le sang coula à nouveau, il me servira dans les inévitable nuit d'affrontement à suivre avec ces maudit demon, nous verront bien s'ils danceront dans leur maison en flammes...