Scénario: Anarchie

Pjs de la partie:
Black Cat
Samui
Mélian

L'ambiance est devenu relativement tendu dans la petite alcove de l'élysium, et chaque vampire présent attend avec apréhension la prochaine phrase du Prince.
_"Je vous ait demander pour vous confier une tache importante, et j'espère bien que vous allez l'accomplir le plus vite possible. Comme vous devait probablement le savoir, le Sabbat a fortement prit position dans les alentours de la ville, et menaçe à présent quotidienement ma cité. Il va sans dire que j'ai besoin d'homme fort pour leur tenir tête, et de personne capable de les affronters. D'où l'utilité des Anarch. Ils ne me servent pas, en fait ils sont même généralement une dangereuse épine dans mon pied, et je compte placer cette épine dans le pied du Sabbat.
Nicolaï, je te confie cette tache. Je pense que tu possède les atouts nécessaires. Prend avec toi les deux nouveaux, comment s'appel t-ils déjà?"
Louis le Page glisse quelque mots à son oreille.
_" Oui Mélian et Samui. Il va sans dire que je te confie cette mission sur la recommandation véhémente de ton Sire, qui ne jure que part toi, au point d'en devenri lassant..."
Des petits rires résonne dans l'équipe restreinte entourant le Prince. Tu voit ton sire réprimé sa honte et affiché un sourire amusé, mais tu comprend alors les risque qu'il encoure pour toi.
_"Je garderer un oeil sur toi, ou plutôt ceux qui se sont opposé à toi le feront"
Louis te regarde avec insistance, confirmant l'opposition qui vous anime.
_"Maintenant va trouver tes deux paires, et trouve le chef de ces Anarch. Ensuite commence à négocier avec lui, et tente de le satisfaire dans la mesure du possible."
Un sourire calculateur illumine ton visage pendant que tu t'incline devant valérius, avant de sortir en réfléchissant à ta tache.

"Vos désirs sont des ordres, mon Prince"

je salue respectueusement comme il se doit, et en me retirant, je regarde rapidement mon Sire en essayant de faire transparaître sur mon visage ma confiance en moi afin de le rassurer sur ma capacité à remplir cette mission. J'ai conscience que mes échecs seront les siens car il en a toujours été ainsi au sein du clan Ventrue.

L'ampleur de la tâche pèse sur mes épaules alors que je réfléchis à la façon dont je vais pouvoir traiter cette affaire tout en quittant la salle d'audience du Prince. J'aurais bien de la chance si ces satanés Anarchs ne me tirent pas dessus à vue. Heureusement que mon accession au titre de limier est encore récente, peut être ne serais je pas encore catalogué comme un ennemi à abattre.

Première chose, retrouver les deux acolytes dont on m'a confié la charge. j'espère qu'ils sauront se montrer utiles et efficaces et qu'ils ne renacleront pas à la tâche.

J'essaye de me rappeler de leur visages et de l'endroit où ils traînent.

Pour Sasui tu ne sait absolument pas où le trouver, encore un de ces sauvage de gangrel qui préfère la campagne et son loup.
Mais il y a fort à parier que Mélian, en bon Toréador qui se respecte doit être ici, dans l'élysium, à joué l'apprentie Harpie.

Cette pensée me vient alors que je suis sur le point de quitter l'Elysium. Je me retourne donc et scrute l'assemblée, à sa recherche. j'imagine qu'il préfère se tenir près des harpies toréadors afin de rire de leurs menues mesquineries. la flatterie est une méthode d'ascension sociale sûre chez les toréadors. Encore faut il savoir quand flatter et quand piquer. et surtout qui piquer. Une remarque mal placée et c'est la dégringolade de l'échelle sociale si durement montée échelon après échelon.
Mes pas me portent donc vers le groupe des Harpies, espèrant l'y trouver.

Je fais le tour de l'assemblée, mais sans parvenir à repérer celle que je cherche. tant pis pour elle, c'est elle qui devra me trouver et pas l'inverse!
je salue une dernière fois les personnes présentes ayant de l'importance à mes yeux, en finissant par le maître de l'élysium, en le félicitant pour sa régularité dans l'exellence de son travail et pour la sureté de ses goûts pour la décoration de la salle qui nous a acceuilli ce soir.

Je quitte l'endroit tout de suite après et me dirige vers ma voiture que mon chauffeur, toujours aussi vigilant, vient d'approcher de l'entrée.
Je monte à l'arrière de la berline de luxe sans attendre qu'il vienne m'ouvrir, n'ayant pas le temps pour cela. il se trouve que d'ailleurs je ne suis pas familier ce ces habitudes aristocratiques pour me sentir à ma place...

"Bonsoir Monsieur!" me salue ma goule, respectueusement.

"bonsoir. Conduis moi vers l'extérieur de la ville, dans le desert."
Ayant connu le desert glacé de la sibérie, cette expression désignant les quartiers défavorisés d'une ville d'un point de vue vampirique me fait toujours doucement sourire.

"Nous sommes à la recherche d'un invisible sauvage, autant dire que la tâche ne va pas être aisée. j'ai besoin de réfléchir. Concerto pour violoncelle n°5, stravinsky, je te prie..."

Je sombre dans mes réflexions sur mes moyens d'actions concernant la tâche qui m'a été confiée alors que je suis bercée par les notes délicates et le roulis imperceptible de la puissante automobile conduite de main de maître par mon servant...

Tu ferme les yeux, te laissant envahir par la grande musique avec un soupir de satisfaction.
Dans un même temps tu analyse tes différentes sources d'information, celle qui te permettrait de trouver un Gangrel antisocial perdu en plein desert.
Naturellement te revient à l'esprit Samuel, le fléau de Valérius. En plus de son rôle qui l'oblige à connaitre tout les vampire de la ville, il est lui même Gangrel, et incarne par accord tacite le réprensentant des Apatrides. Et ce dernier et également suffisament civilisé pour savoir utilisé un téléphone portable.

intérieurement: "Samuel, oui, Samuel, il devrait pouvoir me renseigner sur un de ses congénères. On ne peut pas vraiment dire que sa conversation soit des plus captivantes, mais, au moins sait il encore parler, ce qui n'est pas le cas de tous les sauvages..."

Je saisis mon téléphone portable et recherche son numéro, que je compose.

Dés que j'ai une réponse de sa part, je m'introduis:

"Bonsoir Samuel, je suis Nicolaï Andreiev, infant de Manfred Ballack (note HRP: c'est le nom de mon sire sauf si tu as déjà un truc prévu). Nous avons déjà été présenté il y a quelque temps. J'espère ne pas vous déranger, mais jaurais besoin de retrouver l'un des votres, un certain sasui. Auriez vous l'obligeance de m'indiquer sa position actuelle je vous prie?"

_"Sasui? qu'est ce qui se passe il à fait un truc qui faut pas?"

HRP: le nom du Sire ne porte pas de problème.

"Non, pas du tout, du moins, pas à ma connaissance.et puis là n'est pas le problème. Les plus hautes autorités de cette cité ont pensé qu'il pourrait se rendre utile en m'accompagnant dans une mission assez importante. S'il se débrouille bien, ce qu'il pourrait avoir fait sera oublié. S'il refuse la main tendue, par contre...je vous laisse imaginer la désastreuse opinion que le Prince aurait de son clan et de celui qui le dirige de facto..."
Je laisse en suspend ma phrase afin qu'elle est bien le temps de franchir les barrières mentales du dégénéré à qui je parle. Comme pour la musique, les silences font partie intégrante de la partition et ils font resortir avec force les propos du compositeur qui sait les utiliser.
après quelques secondes:
"Samuel, vous êtes toujours là?"

-"Essayer du coté dans le desert, une caravane au bout de la route 28. Mais je vous conseil de tenir des propos plus diplomate, au téléphone vous ne risquer pas de violence, mais en face de lui les choses pourrait être différente, alors adopter un ton different, ce n'est qu'un conseil. Au plaisir..."
Le bip de fin d'appel se fait ensuite entendre.

Quelle suceptibilité pensai je en souriant doucement... il est curieux que certaines personnes ne supportent pas de se voir rappeler même à demi mot quelle est leur véritable place.
Quoiqu'il en soit, son conseil n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd.

"Sergeï, direction QG, on passe prendre Ivan tout de suite. Préviens le d'être prêt et de prendre de l'équipement, automatique et gilet pareballe, lampe à souder et fusée de détresse. On ne sait jamais. puis tu prendras la route 28. Nous devrions y trouver celui que nous cherchons"

(Changement de programme, il habite en ville dans un petit appartement des quartier Latin dsl^^)

Sergei S'accomplit immédiatement, et se dirige à bonne allure en direction du QG. La nuit vient à peine de tomber, et la ville fourmille encore de l'activité qui la caractérise. Tu regarde d'un oeil distrait la masse de gens, si banale et si pathétique. Il acceuil chaque nuit des prédateurs en leurs seins, et ne savent même pas qu'elles montons ils sont. Le voyage passe rapidement pendant que tu admire "l'humanité", et tu ne remarque la présence d'Ivan qu'une fois sur place.
Tu sort de la voiture sans préter attention au commun des mortels, et tu te dirige rapidement vers le bloc d'appartement ou habite le Gangrel. Le quartier et moins défavorisé que tu ne pouvait le croire, mais cela reste bien trop malfamé pour que tu le juge vivable.

"Ivan, tu viens avec moi. Sergeï, tu te tiens prêt à nous reprendre comme d'habitude"

Celui là ne vit pas dans un trou, c'est peut être un signe qu'il est plus civilisé que ses congénères, mais il vaudra mieux rester prudent.

Je m'arrête en bas de l'immeuble, pour regarder les lieux et je note le n° de l'appartement. Dieu que c'est laid, on dirait Moscou...

Je monte jusque là et je tape trois fois, puis je m'éloigne du centre de la porte (un coup de fusil est si vite parti). Je vérifie qu'Ivan est bien muni de son gilet pare balle en attendant qu'on veuille bien me répondre.

Comme à mon habitude j’étais tranquillement posé sur mon canapé à lire un des nombreux livres que j’avais trouvé lors de l’un de mes voyages. Alors que j’étais profondément plongé dans ma lecture j’attends donc une personne frappé à la porte.

*Hummm qui cela peut il bien être ne vaut mieux pas que ce soit un imbécile je ne suis pas d’humeur*

Donc je dit très doucement en Japonais à Inuki de resté sur ses gardes et puis je me dirige vers la porte. J’ouvre la porte doucement et j’examine les personnes qui ce trouve derrière.

"Oui que voulez vous ?"

"Bonsoir, je m'appelle Nicolaï Andreev, limier du Prince Valérius. à qui ai je l'honneur?"

J'exhude en même temps, afin qu'il soit bien disposé à mon égard (niv 1 présence)

J'admire la personne avec méprit et je me dit

* Mais quelle imbécile c’est limite si il me dit pas sont clan dans le couloir du bâtiment *

Je lui fais signe d’entrer avec son homme. Une fois les 2 personnes à l’intérieur je reprends à voix basse.

"Et ben pour une personne qui travaille pour le prince vous n’avait pas vraiment la langue dans votre poche… enfin bon. Et pour information je suis Sasui Kazuki. J’aimerai savoir pourquoi des personnes de la famille vienne chez moi alors que j’ai un téléphone. Bon et que me veux le Prince."

Hors RP: "Admirer avec mépris"? Faudra que tu me dises comment tu fais, ça paraît un peu paradoxal, non^^? En fait j'attendais plutôt que le MJ nous dise si tu es touché par l'usage de la discipline, et dans quel mesure cela t'affecte.
Si tu décides tout seul que la présence ne te touche absolument pas, ça en réduit beaucoup la portée, non? En plus c'est assez subtil, comme pouvoir (pas autant que protéisme niveau 2, mais presque ^^).
Si tu n'es pas expérimenté, tu n'as aucun moyen de t'en rendre compte. attention de ne pas confondre ce que tu sais et ce que sais ton perso. ni ce que tu voudrais faire et ce que ton perso peux réellement faire.
Quand à mon clan, oui je le dis, et pour une bonne raison: je n'ai pas à le cacher, nous sommes au pouvoir, c'est un atout pour moi, en plus d'être une fierté. quoiqu'en fait si tu lis bien, je dis être de la faction du prince, pas que je suis un ventrue. le croire est une extrapolation que tu fais d'après ton savoir de joueur, et une extrapolation qui pourrait très bien être inexacte.

HRP:

- Alors pour le "J'admire la personne avec méprit" c'est biensur ironique
- pour l'histoire de la discipline j'aimerai savoir sur quel édition on ce base par ce que c'est trés vite diffférent.
- quand au connaisance et à l'expérience de mon personnage ne tant fait pas je les jou à leur niveau et non au mien.
- et pour l'histoire du clan c'était RP sa na rien de personnel

sinon oui j'attend de voir ce que nous dit le MJ et je change mon poste en fonction promi

oki doki. pas d'inquiétudes, je ne l'avais pas pris pour moi!

L'utilisation de Présence fonctionne, et tu est donc plus resceptif à son point de vue, de même tu tend naturellement à être d'accord avec Nicholaï.
Après tu peut annuler l'effet si tu était de base complétement opposé à sa venu, et en depensant un point de volonté...
Autre chose, tu est nouveau dans la ville, et Nicolaï vient d'atteindre des sphères de pouvoir importante auprès du Prince, mais son travail n'est pas encore connu, donc tu ne le sait pas^^.
Voila je vous laisse continuer vos présentations...

Le légendaire charme slave semble encore fonctionner, je vois ses réticences diminuer, son langage corporel, par des signes subtils que j'ai depuis longtemps apris à reconnaître m'informe que mon interlocuteur m'écoutera d'une oreille bienveillante,ce qui pourrait s'avérer utile.

"Dans un premier temps, j'aimerais que vous m'accompagniez à la recherche d'un certain melian, qui doit normalement habiter tout près d'ici. puis, Nous nous rendrons à la rencontre des Anarchs afin de discuter avec eux d'un éventuel accord."

Je prit sur moi pour évité de m’énerver comme j’aurai put le faire en temps normal, surtout que ce Ventru commencé par les choses que j’aime le moins. Premièrement je ne c’est même pas exactement qui il est ou pour qui il ce prend et deuxièmes j’ai horreur qu’on vienne me donné des ordres chez moi et comme un moins que rien surtout depuis le temps que je suis dévoué à la camarilla. Mais anormalement je ne sentie pas la colère m’envahir.

« Bon nous allons reprendre à zéro. Un qui êtes-vous exactement, Deux pourquoi cherchez vous à trouver Mélian et moi. »

"je me suis déjà annoncé et je deteste me répéter et perdre mon temps. Mélian sera peut être plus coopératif. vous m'y trouverez si vous vous décidez rapidement. Dans le cas contraire, monsieur, ce fut un plaisir..."

Je me dirige vers la sortie, ma goule s'interposant entre lui et moi au cas ou. Quel mot n'a t'il pas compris dans ce que je lui ait dit? Peut être me faudra t'il apprendre cette étrange pouvoir permettant de parler aux animaux et de s'en faire comprendre. pas si inutile après tout si on me colle dans les pattes ce genre de personnage...

Les actes et les paroles que venez de prononcé ce vampire allé beaucoup trop loin. Ma patience été bien trop limité par rapport à celle du reste de mon clan. Je ne bouge pas de devant la porte et donc je reste face à la personne qui l’accompagne.

« J’ai voulu être gentil mais j’en est encore certainement trop fait, maintenant vous allé dire à votre larbin de ce poussé sinon je lui arrache la tête. »

Je marque un léger temps de pause et je le regarde avec l’air le plus noir et le plus intimidant possible pour lui faire bien comprendre que je suis très sérieux.

« Maintenant je vous offre 2 choix. Le premier, ont s’assois et on discute tranquillement. Le deuxième vous prenez le risque de m’attaquer. Et la croyais moi je vais vous montrer ce qu’il résulte de s’attaqué à un ancien. »

Je reprends un air plus calme pour montrer que je ne cherche vraiment pas la bagarre.

« Ecoutez mon conseille retiré votre serviteur et prenons place ce sera bien mieux pour tout le monde. »