Ambiance sanglante sur une musique POP

Je rentre tranquilement et le plus normalement possible dans le bar.L'influence de la camarilla se sent à plein nez ici.malgré tout il me semble y avoir certain humains dans l'assemblé.Je m'assie sur un tabouret au bar en face d'un miroir(on est jamais trop prudent.)
Je commande une boisson au serveur.Il m'aporte une mixture s'apparentant plus au moins au Genepi que j'avais commandé.
Je me penche vers lui et lui demande si il sait de quoi parle tout ces gens:
-"Ces rumeurs vous dises quelqeu chose?"

dis-je alors,mes paroles devoilant un peu mes canines...
Cette musique est vraiment gonflante...

Un homme entre
bien qu'on ne puisse etre sur que se soit un homme, ses formes sont si fines qu'elles paraissent feminines...
enfin, la puissance de son regarde est quasit... nulle, il ne dégage rien a part de la pitiée...
il fait quelque pas... puis s'arrete, toujours un avec son regarde benet.

il va s'assoir et n'appel point le serveur, il commence a chanter...

OOO, Fiston! Ne les Laisses pas T'aproooocher...

(Eyden) /

Le serveur te jette un regard glacial avant de retourner à son travail sans répondre. Pendant ce petit temps d'inattention un homme est entré sans que tu le voies, tu le découvres seulement quand il s'installe à côté de toi.

"..."Pas causants les gens dans le coin"..."cherche pas à faire la conversation. L'homme fait plusieurs pauses pour respirer d'un souffle rauque et grave. Ca voix - tout aussi rauque que son souffle monstrueux - prouve qu'il est sûr de lui. Habillé d'un soutane noire dont la capuche cache son visage dans une ombre impénétrable, il sent l'odeur du fauve sauvage. Sans vraiment savoir pourquoi tu ressens un sentiment étrange, ton instinct te dit de te méfier, seulement la curiosité prend le dessus et tu t'avances dans la conversation...

je lui parles calmement.Je fini cul sec mon verre de genepi:
tu as l'air de connaitre pas mal le coin.Tu es d'ici?

je continut ma chanson:

fiston! fait gaffe! ils vont te laisser tomber!
fiston, j'ai un truc en travers de la gorge...

c'est un chant tres lugubre mais qui couvre la musique que mes oreil de cadavres ne surpporte pas!

Je pousse doucement la porte et penetre dans le bar. Apres avoir marque le court temps d;arret necessaire pour devisager la salle, je me choisis une table vide assez eloignee des autres consommateurs, pose mon sac, m'assois et plonge le nez dans la carte des boissons. Mon corps assez tendu peut laisser apercevoir un leger malaise. Au bout d'une minute, je me leve et vais commander un whisky au bar.

"..."Non"..."Pas d'ici"..."Et toi qu'est-ce que tu traines dans ce coupe gorge ?

Tu détailles l'homme du regard. En dessous de sa soutane tu distingue une paire de rangers noires type militaire complètement boueuses ( à croire qu'il a traîné hors des routes), tu remarques les formes massives des muscles de ses bras et sa façon de se tenir droit, tu remarques aussi qu'il porte des gants de cuir noir et pour la première fois tu perçois l'odeur du sang qui émane de ses vêtements.

Je suis venu ici pour du boulot y'a quelque temps...Maintenant que j'ai fini je traine encore dans ce trou à rat.J'ai plus tellemnt envie de rester.Et puis c'est trés embetant( je pousse un soupir),la bonne nouriture se fait rare.Je te paye un truc à boir?

Je me depeche de prendre mon verre et retourne m'assoir, regardant du coin de l'oeuil les personnages assis au bar, faisant tourner mon whisky dans son verre...

L'homme part d'un rire étouffé mais terrifiant de monstruosité.

Tu voudrais me payer à boire, je vais t'apprendre une chose jeune vampire, il ne faut jamais proposer une boisson à un inconnu qui n'arrive même pas à faire disparaître l'odeur du sang qu'il a fait couler.

Pour la première fois son visage se tourne vers toi et dans l'ombre du capuchon tu aperçois seulement deux yeux jaunes de loup.

Passé le premier moment de surprise tu reprends le contrôle sur toi-même, "Si c'était un loup-garou tu l'aurais senti".

L'homme se lève et sort du bar de sa démarche droite et puissante. Tu le vois disparaître dans la nuit sous la pluie soudainement battante.

Tu te réveilles comme d'un enchantement et te rends compte de la présence de plusieurs personnes qui n'étaient pas là avant.

je me leve, arrete de chanter et me dirige vers le bars là ou tout le monde discute

a 3pas derriere eux je m'écrit:



SALUT! on trouveraige quelqu'un de censer ici?

*Je suis ou là...Ah merde toujours dans ce trou pourri...*
Je marmone:
C'est quoi ces conneries?Je m'essuye les yeux et regardes autour de moi.

j'avale cul sec, me leve et me dirige vers l'attroupement
je demande alors a celui qui a defailli: Ca va gars ? puis me tournant vers les autres, C'etait qui ce type putain?

T'inquiétes pas ca va.
Je me tourne vers le barman et demande un grand verre de sake.
Je prends le verre et le descendcul sec.Ca va déjà mieux.Je me léve un peu titubant et je comemcne a m'aprochez de la sortie.
*J'ai un drole de presentiment...*
Je detahce ma holster et pose ma main sur la crosse de mon flingue sous ma veste.

je fais quelques mettres pour reprendre mon sac, le garde à la main et attend de voir ce que vont faire les autres, j'ai l'air pret a partir comm à m'assoir

A l'instant précis ou Eyden pause sa main sur la crosse de son flingue un cliquetis résonne à travers la salle donnant approximativement 20 secondes aux trois innocents pour sortir avant que les deux bandes s'étripent. Effectivement c'est juste à ce moment là que Eyden remarque que deux groupes bien distincts sont amassés chacun d'un côté de la pièce. Les deux groupes ayant des signes distinctifs désignant à la fois un groupe de tueurs bien financés à gauche et un groupe plus modeste de l'autre.

Plusieurs sont déjà debout et s'apprêtent à faire feu. La poudre à pris feu, il est temps de rejoindre la nuit et ses ombres énigmatiques.

d'un geste ridicule j'essay de sauter le comptoir avant de me ratatiner par terre au pied du barman...
je me cache derrier le buffet en hurlant comme un enfant...
je me met a pleurer

Je vérifie que je ne suis pas dans leurs ligne de mire puis,essayant de couvrir les insulte qui commence à fuser je cris:
"Ooooh.Qu'est ce que vous faites là?Nous sommes entre gens civilisés!
Peut être pouriez vous vous expliquer? Quels différents vous opposent?"Je fixe la personne samblant être le meneur du groupe le plus important.Je porte toute mon attention à lui.
*Obéis moi!*

je jette mon sac sur mon épaule et me précipite dehors. Une fois la porte passée je sors mon Sig et reste pres de l'encadrure de la porte, protégé par le mur. Je ne fais aucun jeste violent ou menacant, l'arme est baissée.

Alucard :

Le barman t'attrape par le col avant de te traîner vers la porte de derrière. Une fois là bas il te balance dans un tas d'ordure peu ragoûtant

Eyden :

Tu as à peine le temps de prononcer un mot qu'une rafale termine son jet dans t'a direction. Deux balles dans la jambe tu réalise que la situation est plus critique que tu ne le pensais.

Ratdégoût :

Soudain tu perçois une odeur sauvage, la peur te tord le ventre, tu n'as pas le temps de réagir qu'une énorme patte t'agrippe par l'épaule et te projète à 5 mètres de là dans la boue. La pluie ruisselle sur t'on visage, le froid et la peur dominent t'es émotions, tu tremble en essayant de comprendre la situation.


En moins de trois minutes les rafales cessent laissant un chaos total de fumée à l'intérieur du bar. Le ruissellement de la pluie seul couvre celui du sang. Rien ne bouge c'est le calme complet exclusivement troublé par les éléments déchaînés. Certains sages parleraient de calme avant la tempête.


Ratdégoût est en état de choc il ne pourra pas réagir ce tour-ci.

*C'est quoi cesconneries??**
Cette fois si je garde le browning en main,je tente tant bien que mal de dicerner quelque chose à travers le voile de fumée....

Peut à peut le voile de fumée disparaît. Le bar est sans dessus dessous, la plus part des éléments du mobilier son renversés et couverts de sang, d'ailleurs toi aussi tu as du sang partout sur le visage et le reste de t'on corps. Tu ne perçois pas un souffle de vie et malgré la disparition de la fumée l'odeur acre de la poudre est encore très forte. Tu constate aussi que certains "clients" ont fini la lutte au corps à corps. La plus part des corps sont en charpie et donc non identifiables cependant tu ne semble pas reconnaître les corps de t'es compagnons.

Tout se remet en ordre dans t'a tête, tu te souviens de Ratdégoût qui est sortit par la porte et de Alucard qui a sauté pitoyablement par-dessus le comptoir en faisant de grands gestes tout aussi inutiles que ridicules. Puis tu te rappelle aussi de l'homme aux yeux jaunes qui rôde toujours à l'extérieur.

Tu te relève péniblement et constate que ta jambe aurait besoin de soins. Tu fais le tour du bar pour aller jusqu’aux toilettes privées du barman, celui-ci même qui est allongé derrière le bar la tête éclater par un calibre 12. Tu fini par trouver à grand peine une trousse à pharmacie recouverte d'une épaisse couche de poussière. Une fois ta jambe désinfectée et bandée tu réfléchis à ce que tu va faire…

"Bon dieu mais qu'est ce que c'était que ça?" Les mots se bousculent dans ma tête, aucun n'arrivant à transcrire ce mélange de terreur, de surprise et de confiuson totale.
J'avais pourtant appris à dominer ma peur, exposé au feu ennemi, mais cette terreur ci était tellement forte, brutale, insurmontable...
Qui a pu me surprendre ainsi? Stupide que j'étais de me concentrer sur 'intérieur du bar j'en ai oublié mes arrières, si je ne me reprend pas je n'ai aucune chance de survivre, aucune... Les souvenirs du front se bousculent dans ma tête... où sont donc passées toutes mes compétences ? Je n'ai plus affaire à des humains, la donne à changé, c'est moi la proie, c'est moi...

Je m'approche de la porte d'entré du bar et je tente une sortie le plus préconcionesement possible,le pistolet à la main le bras droit tendu afin d'absorber le recul et le bars gauche souple afin degarantir un bon mouvement...

je me lève péniblement et regarde autour de moi. J'apperçois le type qui c'était fait brutaliser quelques minutes auparavant dans le bar. Je ramasse mon sig couvert de boue le frotte grossièrement contre mon pantalon. Je fixe Eyden du regard, l'air interrogateur